• Ouvre-toi délicate fleur

    Je serai là pour te cueillir,

    Te rappeler toutes ces heures

    Où l'Amour nous faisait sourire.

     

    Découvre-toi petite fleur,

    C'est le moment de nous aimer.

    Aujourd'hui gagne le bonheur,

    Et apprenons ce qu'est rêver.

     

    Oui le rêve, amour de toujours,

    Pensée éphémère de la nuit,

    Savoir rêver même le jour,

    Et être libre ailleurs, ici.

     

    Croquer la vie à pleine dent,

    Respirer enfin librement,

    Et se dire lorsque vient le temps,

    Que le moment c'est maintenant...


    Voici le lien pour se rendre sur le blog de Narcose :

    http://narcose.eklablog.com/accueil-c17816574


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  • C'était là un garçon. Un jeune mineur d'une ville cotière et minière. Il travaillait tant au charbon que sous la terre, et était passionné de paysages lointains. Autrefois fasciné par les sous-sols, il s'en était lassé. Aujourd'hui monté dans la coline proche de sa ville, il gravissait un escalier naturel sous un soleil éblouissant. Le vent fouettant la mer et les herbes, le garçon sentait ce dernier s'engoufrer dans sa chemise ample, lui donnant vaguement l'impression de voler. Il était jeune et imprudent, encore un enfant aux yeux tout emplis de rêves un peu nuageux, fais sous le coup d'un petit verre entre collègue de Bas-fond.

    Ses cheveux en tignasse semblaient à un porc-épic, et ses joues grellées de tâches rousses. Il était beau, simplement beau garçon comme on en trouve dans les villes cotières et minières. Il était le favoris des filles de son âge, et plus âgées. Fin et agile, comme un aimant les attirait, mais ne les voyait guère. En fait, il s'en fichait. C'était un enfant sans manque d'amour.

    Grandis sans sa mère, pour seule compagnie un veillard nommé Compère, vivait en mansarde, sur le port Matin, aux soleils toujours levés. Longtemps, il avait rêvé de prendre la mer, mais il ne le pouvait guère, son ventre le lui rapellait. Si tôt pied levé de Terre, l'enfer se déchainait, on le redescendait, désolé. Une autre fois gamin, il partait.

    Alors il choisit la belle et verte colline. On la lui avait déconseillée, sans écouter il y allait. Un territoire vert et emplis de sorcières. Qu'elles viennent ! Il les attendait bravement, ces vieilles folles plus allumées encore que son collègue de compartiment ! Après tout, il était jeune, sans défense, mais excellent coureur, et ne redoutant point les sorts.

    Quand il fit la connaissance du plus particulier : celui des jupes qui volent.

    Elle était fine, et blonde. Avec une robe blanche plutôt transparente, un grand chapeau sur la tête. Vision de rêve que les yeux du garçon détaillèrent à la volée, sous les plis d'un corset inexistant, cherchant à desseler une courbe furtive dans un écrin de soie.

    Elle était nu pied, surement encore plus nue sous sa robe, et il y pensa bien. Elle se tourna légèrement vers lui, lui sourit. Il ne vit que sa bouche, et le bas, les yeux tant, on ne les vit pas. Elle sauta de son rocher, dévoilant sous un regard aimanté quelques choses singulières. Il la suivait.

    Dans sa tête plus rien ne pensait, juste détailler le creux des genoux de la belle fille, simplement belle, comme on en trouve dans les collines. Il ne regardait que les genoux, et parfois, au grés d'un coup de vent, un lêger sous-vêtement, cela suffisait, comme un enfant il traçait derrière elle.

    Et il ne vit pas

    Le sourire carnassier

    Se dessiner lentement

    Sur les joues

    À embrasser tendrement

    Prend garde aux sorcières mon enfant...

    Voici le lien pour aller sur le blog de Kaïko :                          

    http://fxck-the-world-and-kiss-you.eklablog.com/



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    Musique d'accompagnement :

     

    L'enfer n'est ni dans les airs,                                                                               Ni dans les noires profondeurs                                                                            Du centre de la planète.                                                                                         Mais au fin fond de nos coeurs.


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  • Musique d'accompagnement :



    La peine de mort.

          Le 21 Septembre 2011, Troy DAVIS que l'on accusait du meurtre d'un policier, de vol à main armée et de coups et blessures meurt éxécuté, alors même que sept des neufs témoins de l'affaire retiraient leurs dépostions. Suite à cette éxecution on remarqua un grand nombre de manifestation contre la peine de mort à travers le monde. Alors aujourd'hui plus que jamais une question essentielle se pose : "Faut-il abolir la peine de mort à travers le monde?"                                                    Bien que la peine de mort puisse dans certain cas s'avérer justifiée, losque l'on est sûr à 100% de la culpabilité de l'accusé, elle ne semble pas "indispensable", puisque certain pays comme la France ou l'Italie s'en passent.

     

    En effet, nous pouvons très bien remplacer la peine de mort par d'autres condamnations moins radicales mais tout aussi dures, comme la prison à perpétuitée, l'exil ou l'asile psychiatrique pour les scizophrènes. Idéé que Monsieur Romano PRODI, ex chef du gouvernement italien, défendit en ces mots : "La peine de mort doit être abolie dans tous les pays. Ainsi l'Italie se doit de privilégier des condamnations plus respectueuses de la vie humaine, comme la prison à perpétuée."

     

    De plus, pour la famille de l'éxécuté(e) regarder son frère, sa mère, son mari... sur une chaise électrique ou allongé(e) sur un matelas pour subir une injection létale, s'avère une terrible épreuve, très traumatisante, dont certaines personnes ne se remettent jamais. Ce qui peut les pousser à vouloir se venger ou même se suicider.      Pour preuve, il y a trois ans, aux Etats-Unis, une femme s'immole avec ses trois enfants après l'éxécution de son mari.

     

    De surcroît, une fois que l'accusé(e) ne se trouve plus en vie, si la police et/ou le tribunal obtiennent de nouveaux éléments le disculpant ou remettant en cause ses actes alors sa mort se résumera en un mot : "erreur". Ainsi Troy DAViS se trouverait sûrement encore en vie si la peine de mort n'existait plus.

     

    Enfin, le choix de laisser la vie ou de la reprendre n'appartient à personne. Il n'appartient ni à un tribunal, ni à un homme parmi tant d'autres. De ce fait, le tribunal qui juge l'éxécuté(e), la personne qui tire sur un levier enclanchant le mécanisme d'une chaise électrique... sont exactement comme l'éxécuté(e) : des Tueurs. Idée que défendit Victor Hugo dans un célèbre discours destiné à l'Assemblé Nationale.

     

    Au final, bien que la peine de mort semble une bonne condamnation, elle s'avère facilement remplaçable par des peines toutes aussi dures mais laissant la vie sauve à l'accusé(e). Lui évitant ainsi de mourir par "erreur" si l'on découvre de nouvelles preuves l'innocentant. Car malheuresement tant que la peine de mort existera des innocents mourront à la place des vrais tueurs. Et surtout car la vie est notre bien le plus précieux et personne ne peut choisir de l'enlever.


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  • Bienvenu sur mon blog.

    "Nouvelles et fictions d'ici ou d'ailleurs" est un blog de lecture dans lequel je ferais paraître quelques un de mes textes mais aussi ceux de certain amis avec leurs autorisations. Ainsi ce forum sera en deux parties :

    La première se nommera "Mes écrits" et rassemblera mes écrits en tout genre.      La seconde se nommera "Ecrits de mes amis" et rassemblera leurs écrits avec les liens de leurs blogs, sites ou forums dont sont tirés les écrits                              .Je tiens à préciser que je mettrais aussi dans ma partie mes "Rp", même s'ils ont été écrit en duo.

    Etant fan de musique je compéterai régulièrement les textes par différentes musiques afin d'accompagner vos lectures.

    De plus je ferais sûrement des concours dans lesquels vous pourrez créer des récits, seul ou en duo, mais aussi des concours de dessin pour accompagner les récits.

    Sur ce bonne lecture à tous,                                                                                      "Joyeuses retrouvailles et joyeuse séparation, et au plaisir de se retrouver de nouveau" (Citation tirée de "La Maison de la Nuit")


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